Pas de temps à perdre.
Par Eolas le mercredi 23 avril 2008 à 12:06 :: Brève :: Lien permanent
Jean-Marie Le Ray s'étonne de “m'avoir piqué au vif” par sa désobligeance, alors que lui naturellement ne l'est pas, baptise sa réponse «riposte».
Las, quand je lis d'entrée :
Or malheureusement, non seulement vous ne répondez pas à mon « analogie funeste du kiosque à journaux », mais de plus vous vous embarquez dans une telle série d’erreurs d’appréciation que cela en devient embarrassant, Eolas !
J'arrête aussitôt de lire car je comprends que j'ai affaire à quelqu'un qui ne m'a manifestement pas lu, qui n'éprouve aucun intérêt à la confrontation des points de vue, qui substitue son “bon sens” à la réflexion et la grossièreté à l'argumentation. bref, une perte de temps. J'arrête là ce simulacre de dialogue. Et je ne mets pas de lien vers cette "riposte", je ne voudrais pas vous faire perdre votre temps : son prochain billet sera un cri de triomphe où il se vantera d'avoir eu le dernier mot et pleurnichera des larmes de crocodile sur mon refus du dialogue. Oui, en plus, il est prévisible.
Je n'ouvre pas les commentaires, la discussion qu'il y a sur le sujet (d'un autre niveau, y compris chez les points de vue contraires au mien) continuera en commentaires sous le billet précédent.
J'espère pouvoir mettre le commentaire du jugement Lafesse/Dailymotion en ligne demain au plus tard.