Le Monde, qui a beau paraître avec la date du lendemain n'en est pas moins parfois en retard de quelques semaines, revient sur la polémique lancée par le Canard Enchaîné, en se demandant si la cour d'appel de Versailles n'aurait pas grossièrement violé la loi en étant clément avec Al1jup... Pardon, Alain Juppé.
On imagine aisément que la personnalité du prévenu, son amitié fidèle avec le président de la République, et ses ambitions politiques non dissimulées ont de quoi faire vibrer les imaginations. Revoici que surgissent les spectres de la justice aux ordres, de la corruption, de l'influence etc etc.